127 HEURES
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le projet 127 heures, initialement envisagé en tant que documentaire, a débuté quand Aron Ralston et le producteur John Smithson sont entrés en contact et se sont entendus pour réaliser un film sur l'extraordinaire aventure vécue par Ralston. Danny Boyle, approché pour mettre en scène le projet, a préféré opter pour un film dramatique plutôt que pour un documentaire et a dû convaincre les producteurs, réticents à cette idée. "C’était un énorme défi sur le plan narratif, mais Danny avait trouvé comment faire en sorte que ce soit continuellement passionnant, impliquant, pleinement satisfaisant au plan émotionnel, en créant une expérience vécue à la première personne par le public," raconte le producteur Christian Colson.
Véritable film-concept, 127 heures s'est avéré être un défi de taille pour Danny Boyle, dont la "mission" consistait à tenir le spectateur en haleine pendant une heure et demie, avec un personnage condamné à ne pas pouvoir bouger. "Nous allions faire un film d’action dans lequel le héros est immobile !," résume le réalisateur, qui a ainsi travaillé minutieusement l'image et l'émotion de son film : "J’avais le sentiment que si nous étions capables de rendre le film viscéral et impliquant tant au niveau visuel qu’émotionnel, alors les gens pourraient se perdre dans l’histoire de la même manière qu’Aron s’est perdu dans les canyons."
27 heures porte bien son nom. Le film est fondé sur l'accident d'Aron Ralston, un randonneur américain qui, malgré son expérience, s'est retrouvé coincé pendant 127 heures dans un canyon près de Moab dans l'Utah en 2003. En 2006, dès la publication du livre "Plus fort qu’un roc" retraçant son épreuve, Danny Boyle l'a approché pour adapter son histoire au cinéma.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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