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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Lorsque James Cameron et son producteur Jon Landau ont rencontré Robert Rodriguez, ils ont commencé par lui montrer d'impressionnantes vidéos et storyboards témoignant du potentiel tant visuel que scénaristique de Alita: Battle Angel. Le cinéaste de Desperado a immédiatement été conquis et leur a demandé s'il pouvait réduire la taille du script de base. "J'ai enlevé certaines scènes et en ai réécrites d'autres, mais dans le "style Cameron" le plus pur". Si Rodriguez a été impressionné par les prémices visuelles qu'il a vues, c'est aussi l'aspect humain de l'histoire, notamment via la cyborg amnésique Alita, qui lui a donné envie de relever ce challenge.
Pour créer Iron City, la décharge où évoluent les personnages de Alita: Battle Angel, Robert Rodriguez a métamorphosé ses studios d'Austin comme il ne l'avait jamais fait auparavant. Ses équipes ont ainsi conçu un plateau pouvant servir à filmer la ville entière. La célèbre société Weta Digital s'est quant à elle chargée d'ajouter le nécessaire via des effets spéciaux. Elle a également créé Zalem, cette fameuse cité spatiale inaccessible ancrée à la Terre par un gigantesque ascenseur qui ravitaille et envoie des déchets (c'est pour cette raison qu'Iron City s'appelle, dans le manga, "la décharge"). La plupart des prises de vue du film ont été retouchées par des effets spéciaux. Une nécessité puisque Alita elle-même et beaucoup d'autres habitants d'Iron City sont plus ou moins cybernétiques.
James Gray a été inspiré par le lauréat du Prix Nobel de Physique Enrico Fermi, dont les recherches ont servi de socle à l'exploitation de l'énergie nucléaire, et qui pensait que le quart sud-ouest des Etats-Unis avait 90% de chances d'être détruit lors de la première fission nucléaire.
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