ALITA : BATTLE ANGEL
|
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Lorsque James Cameron et son producteur Jon Landau ont rencontré Robert Rodriguez, ils ont commencé par lui montrer d'impressionnantes vidéos et storyboards témoignant du potentiel tant visuel que scénaristique de Alita: Battle Angel. Le cinéaste de Desperado a immédiatement été conquis et leur a demandé s'il pouvait réduire la taille du script de base. "J'ai enlevé certaines scènes et en ai réécrites d'autres, mais dans le "style Cameron" le plus pur". Si Rodriguez a été impressionné par les prémices visuelles qu'il a vues, c'est aussi l'aspect humain de l'histoire, notamment via la cyborg amnésique Alita, qui lui a donné envie de relever ce challenge.
Pour créer Iron City, la décharge où évoluent les personnages de Alita: Battle Angel, Robert Rodriguez a métamorphosé ses studios d'Austin comme il ne l'avait jamais fait auparavant. Ses équipes ont ainsi conçu un plateau pouvant servir à filmer la ville entière. La célèbre société Weta Digital s'est quant à elle chargée d'ajouter le nécessaire via des effets spéciaux. Elle a également créé Zalem, cette fameuse cité spatiale inaccessible ancrée à la Terre par un gigantesque ascenseur qui ravitaille et envoie des déchets (c'est pour cette raison qu'Iron City s'appelle, dans le manga, "la décharge"). La plupart des prises de vue du film ont été retouchées par des effets spéciaux. Une nécessité puisque Alita elle-même et beaucoup d'autres habitants d'Iron City sont plus ou moins cybernétiques.
Peu de temps avant la sortie du film, la Twentieth Century Fox a dû face à une plainte déposée par une société basée en Floride, pour violation de marque déposée. Cette société, du nom d'Epic Stone Group, aurait en effet déposé en 2009 la marque "Battle Angel", et vendu des marchandises sous ce nom depuis une dizaine d'années. En avril 2018, Epic Stone Group avait même complété son dépôt de marque pour couvrir les DVD, films téléchargés, e-books et autres contenus téléchargeables. La partie s'annonce serrée pour la Fox, car, outre la promotion du film à venir de Robert Rodriguez, elle a déjà, bien entendu et depuis un moment, donné son feu vert pour du merchandising vendu autour du film... A ce titre, Epic Stone estime que ce fait est de nature "à entraîner la confusion chez les consommateurs", en plus de présenter un préjudice pour sa marque. En conséquence de quoi elle exige le paiement de dommages, la cessation par la Fox de commercialisation d'objets portant la mention "Battle Angel", et le renoncement à tout profit relatif à la marque "Battle Angel". La Major a pour le moment refusé de commenter la plainte déposée. |
Pour les scènes du Motorball de rue, la production a recruté un quatuor de patineurs de classe mondiale pour exécuter les mouvements de parkour. En revanche, la plupart des personnages de la version professionnelle du Motorball ont dû être presque entièrement créés par ordinateur parce qu’il n’existe tout simplement pas d’analogue humain à la façon dont ils se déplacent.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly