SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Créé en 1945 par Otto Binder et C.C. Beck, Black Adam a été conçu comme une version maléfique du super-héros Shazam. C'est l'ambiguïté du personnage qui a séduit aussi bien Dwayne Johnson que le réalisateur Jaume Collet-Serra. Ce dernier explique : "Je suis séduit par les personnages qui sont à la lisière du bien et du mal – et j'ai immédiatement compris que ce personnage ressemblait beaucoup à ceux qui, lorsque le système ne fonctionne plus, sont capables de réparer les injustices, là où d'autres avant eux avaient échoué". L'un des aspects les plus intéressants de Black Adam selon lui, c’est le questionnement sur la nature du héros et le dépositaire légitime de la justice. "Je ne dirais pas que les valeurs morales de Black Adam soient discutables, mais elles ne sont peut-être plus adaptées à notre époque. Il s'agit là d'un gars pragmatique, qui fait les choses à sa manière en fonction de sa propre conception de la justice".
Comme la plupart des super-costumes, la combinaison de Dwayne Johnson devait être rembourrée de façon stratégique pour mettre en valeur la musculature de l’acteur et créer une silhouette optimisée de super-héros. Mais l'acteur, qui a commencé à se préparer intensément près d’un an avant le tournage, n'avait besoin en réalité d'aucun rembourrage ! Il n'a pas hésité à partager sur les réseaux sociaux auprès de ses millions d'abonnés son programme de fitness précisément adapté, son entraînement physique, sa prise de muscles et son régime nutritionnel.
Les chefs-costumiers Kurt et Bart n'avaient jamais vu ça : "C’est la toute première fois qu’on rencontre quelqu’un avec un vrai corps de super-héros. Personne n’a un physique comme le sien. Personne, excepté Dwayne Johnson. Le vrai défi a été de savoir comment donner de l’allure à la tenue : comment créer une matière si fine qu'on puisse percevoir tous les détails de sa musculature ?"
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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