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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Stephen King, et publiée pour la première fois en 2004. Scott Derrickson se rappelle : "J’avais lu son histoire il y a plus de seize ans en lisant son livre dans une librairie. Je ne savais pas que c’était le fils de Stephen King et j’ai juste pensé tout de suite que cela pourrait faire un film formidable."
"Il y a environ un an, j’ai eu la chance de pouvoir me lancer dans une nouvelle aventure cinématographique et je me suis plongé dans l’adaptation de cette nouvelle. Je voulais revenir à ma passion du cinéma d’horreur et Black Phone était une opportunité parfaite."
Depuis quelques années, Scott Derrickson suit une thérapie en raison de mauvaises expériences survenues dans sa jeunesse à Denver, durant les années 1970. Avec Black Phone, il a ainsi voulu faire un film reflétant le climat de peur et de violence qu'il a connu :
"Je vivais à Denver à la fin des années 70, dans un quartier difficile avec un maximum d’insécurité, de violence et d’abus en tous genres. J’étais, qui plus est, le garçon le plus jeune parmi tous ces jeunes à la dérive."
"C’était aussi l’époque où Ted Bundy était passé par chez nous en tuant plus d’une fois. Et Charles Manson faisait la Une avec le triste meurtre de Sharon Tate. J’ai même été confrontré au meurtre de la mère d’un ami qui vivait près de chez nous."
"Je vivais vraiment dans une ambiance ultra morbide, sans compter les abus de violences à l’encontre de nombreux jeunes par leurs parents. C’était vraiment une période noire de mon existence. La peur était en moi et dans ma famille."
Dans la nouvelle de Joe Hill, le Ravisseur s’inspirait de John Wayne Gacy, tueur en série surnommé le Clown Tueur, qui a assassiné au moins 33 jeunes hommes et garçons entre 1972 et 1978. Il explique :
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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