BURN AFTER READING
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Dans la filmographie des Coen, le délirant Burn after reading succède au très noir No Country for Old Men, Oscar du Meilleur film en 2008. Mais les deux projets ont en fait été développés parallèlement. "Nous avons écrit le script de Burn after reading à peu près au moment où nous étions en train de travailler sur l'adaptation de No country for old men", précise Joel Coen.
Le montage du film est signé Roderick Jaynes : il s'agit en fait d'un pseudonyme qu'utilisent fréquemment Joël et Ethan Coen. La supercherie se décline également sur le dossier de presse du film, puisque une (fausse) biographie de ce Roderick Jaynes a été rédigée dans cette brochure destinée aux journalistes. On y apprend que ce technicien, qui réside dans le Sussex "avec son chien Otto", est particulièrement expérimenté puisqu'il a"entamé sa carrière au département montage des studios de Sheppertond ans les années 30. Il a travaillé sur quelques-uns des films britanniques les plus marginaux des années 50 et 60." On y découvre par ailleurs qu'il est "réputé dans le milieu du cinéma pour son style vestimentaire impeccable" et qu'il est "le plus grand collectionneur au monde de nus de Margaret Thatcher -dont la plupart ont été dessinés d'après nature."
Burn after reading a été majoritairement tourné dans la région de New York, car les réalisateurs souhaitaient rester près de chez eux et de leurs familles, mais aussi parce que George Clooney travaillait sur un autre projet aux environs de New York. C'est à Paramus, dans le New Jersey, que les décorateurs ont trouvé le bâtiment abandonné et vide qui allait devenir le centre de Fitness. Celui-ci était si ressemblant que des habitants de Paramus sont venus demander une inscription au club....
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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