SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ça Chapitre 2 est la suite de Ça, adapté du célèbre roman du même nom de Stephen King. L'ouvrage avait déjà été transposé à l'écran via le téléfilm à succès Ça - Il est revenu réalisée par Tommy Lee Wallace et diffusé en deux parties, en 1990 aux Etats-Unis et en 1993 en France (sur M6). Le metteur en scène Andy Muschietti explique : "Le livre fait plus de 1 100 pages et notre premier film en couvre peut-être 300. On avait conscience que la conclusion allait être un récit bien plus important avec deux fois plus de personnages, puisqu’on y verrait les Ratés ados et adultes. Mais le film va bien plus loin encore : il a plus d'envergure et de densité et il est plus effrayant. C’est une aventure d’un tout autre calibre."
Pour les besoins de ce deuxième opus, qui passe constamment de l'année 1989 à l'époque actuelle, la production a intégré des décors et des lieux de tournage déjà utilisés dans Ça et a accentué les contrastes pour qu'ils n'aient pas la même allure à 27 ans d'écart.
En 2017, Ça est vite devenu le film d’horreur le plus rentable de tous les temps avec pas loin de 700 millions de dollars de recettes au box-office international (pour un budget de 35 millions de dollars), dépassant L’Exorciste (428 millions) et Sixième Sens (673 millions).
Le directeur de la photographie Checco Varese s'est souvent référé au premier chapitre pour assurer une continuité esthétique entre les deux opus et faire en sorte que les images du film d'origine s'intègrent aux flash-backs venant d'être tournés. A l'inverse, les scènes contemporaines dégageaient une atmosphère qui leur était propre. Il a eu recours à différents types d'objectifs (des optiques anamorphiques MiniHawks avec effet de flou artistique d'arrière-plan pour le passé et des optiques sphériques pour le présent) pour bien différencier chaque époque.
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La Critique de SevenArt
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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