SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ceux qui travaillent s’inscrit dans un projet de trilogie. Initialement, le réalisateur Antoine Russbach avait le désir de réaliser un film choral intitulé Ceux qui travaillent, Ceux qui combattent et Ceux qui prient, dans l’idée d’esquisser un état général de la société. C’était un projet ambitieux, complexe et coûteux, dont il a débuté l’écriture à l’issue de ses études cinématographiques en Belgique.
Antoine Russbach a décidé de s'intéresser au secteur du fret maritime dans Ceux qui travaillent. "J’avais lu Splendeurs et misères du travail d’Alain de Botton, un philosophe et écrivain suisse qui vit à Londres. Dans une de ses histoires, il suivait la trajectoire d’un poisson pané de l’assiette d’un enfant jusqu’au pêcheur en décrivant chaque étape. J’avais trouvé ce texte magnifique et inspirant. Avec mon coscénariste Emmanuel Marre, nous nous sommes beaucoup documentés sur ce sujet et avons rencontré des professionnels du secteur du fret. En discutant avec eux, j’ai réalisé qu’ils ne voyaient jamais ces bateaux, ce qui me paraissait extraordinaire. Ces navires sont des points sur des cartes. Cela rend compte de la semivirtualité du monde dans lequel nous vivons."
Pour Antoine Russbach, tout l’enjeu était de parvenir à montrer ce rapport entre l’individu et le collectif de façon complexe et non idéologique. Les films sociaux induisent souvent une aliénation de l’individu par la société, dans la continuité d'une vision marxiste de la domination.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly