SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Interprètes principaux du film, Matthew McConaughey et Jared Leto ont dû s'astreindre à un régime drastique. Les deux comédiens ont perdu respectivement 22 et 25 kg afin d'incarner Ron Woodroof et Rayon. Le second avait déjà beaucoup maigri en 2000 pour les besoins de Requiem For A Dream où il campait un junkie. Très présent sur les écrans entre le milieu des années 1990 et le début des années 2000, Jared Leto s'est fait plus rare ces derniers temps.
Avant Dallas Buyers Club, cela faisait 4 ans qu'il n'avait plus été à l'affiche d'un film (Mr. Nobody). Son absence s'explique en partie par son activité musicale, puisqu'il est le chanteur de 30 Seconds to Mars et a enchaîné les tournées entre 2010 et 2011. Cette année, le groupe a d'ailleurs sorti son quatrième album. La naissance d'un film est souvent délicate. Pour Dallas Buyers Club, trois tentatives furent nécessaires avant que le tournage ne commence.
Dallas Buyers Club n’a nécessité que 25 jours de tournage. Cet exploit assez rare au cinéma est majoritairement dû au parti pris de ne pas utiliser d’éclairage artificiel, un précieux gain de temps pour le montage des décors.
Ce film raconte l'histoire vraie de Ron Woodroof. Par son action, bien qu'illégale, cet homme a contribué à faire avancer la cause des malades atteints par le SIDA, en prouvant l'inefficacité du système d'aide proposé à l'époque par les pouvoirs publics.
Dans un premier temps, Brad Pitt et Marc Forster avaient tenté leur chance avant de renoncer, tout comme le duo Ryan Gosling-Craig Gillespie. L'honneur de réaliser le film a finalement échoué à Jean-Marc Vallée grâce à l'aide de Matthew McConaughey. Ce dernier y est d'ailleurs allé de sa poche pour boucler le financement du projet.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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