SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Du Sang et des larmes est un film que Peter Berg essaye de faire depuis 5 ans. Il voulait même le faire avant Battleship, son précédent film qui fut un flop, mais Universal en décida autrement. Dans une interview accordée au New York Times, le metteur en scène avait expliqué à quel point il est attaché aux valeurs militaires, puisqu'il est allé en Irak et a vu des gens mourir. D'où son envie de s'atteler à la réalisation de Du Sang et des larmes, produit pour un budget nettement inférieur à "Battleship". Dans cette optique, Berg a travaillé pour le salaire minimal (17 000 dollars par semaine) et de nombreux membres de son équipe (Mark Wahlberg et Taylor Kitsch compris) ont également réduit leur salaire.
Deux frères d'origine afghane dont le père est un réfugié aux Etats-Unis (après avoir fui les talibans) ont été engagés par la production de Du sang et des larmes en tant que consultants pour retranscrire le plus fidèlement possible l'ambiance du côté Afghan. Leur père, Zarin Mohammad Rahimi, joue d'ailleurs au final l'un des trois bergers capturés par l'équipe de SEALs.
Le lundi 13 janvier 2014, Curtis Reeves, ex policier à la retraite de 71 ans, tire sur un couple présent dans une salle de cinéma situé au nord de la Floride. Leur crime ? Chad et Nichole Oulson étaient en train d'écrire des textos lors de la projection du film Du Sang et des larmes. Passablement dérangé, le retraité a tué le mari à bout portant avec un calibre 380, blessant par la suite grièvement l'épouse. Arrêté par la police de Tampa, Reeves devrait être condamné logiquement pour homicide.
Du Sang et des larmes a pu réunir 40 millions de dollars de budget grâce à des investisseurs venant du monde entier. Ceux qui ont investi un million ou plus ont même été crédités de "producteurs" même s'il ne s'agit pas de leur véritable métier sur le film.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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