SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
D'un budget de 30 millions de dollars, District 9 a totalisé 210,8 millions de dollars de bénéfices au box-office international. C'est donc tout naturellement que les producteurs ont accordé au réalisateur Neill Blomkamp un budget de 100 millions de dollars pour sa seconde réalisation, soit plus de trois fois le budget de District 9.
Pour Jodie Foster, les thèmes abordés dans Elysium font écho au monde actuel. Le film de Neill Blomkamp a un sous-texte politique, puisqu'il traite des disparités qui existent entre ceux qui ont tout et ceux qui n'ont rien (comme il le faisait avec District 9). La comédienne précise que "ce fossé se creuse de plus en plus chaque année et s'est plus creusé en 20 ans qu'en 500 ans", avant d'ajouter qu'Elysium est également "un film sur l'environnement et la façon dont nous traitons notre planète."
Dans le nouveau film de Neill Blomkamp, la population est divisée entre une Terre dévastée et la station spatiale high-tech Elysium. Afin de recréer la rupture entre ces deux univers, le réalisateur a choisi de tourner dans deux lieux radicalement différents. Les scènes se déroulant sur Terre ont ainsi été filmées à Mexico, en grande partie dans les bidonvilles, tandis que celles d’Elysium à Vancouver (où a étudié Neill Blomkamp). La station spatiale a néanmoins été entièrement construite, ce qui a nécessité un an de travail et cent-cinquante personnes.
Neill Blomkamp ne voit pas Elysium comme un film d’anticipation mais comme une métaphore du monde actuel. Si le réalisateur a choisi l'année 2154, c'est uniquement parce qu'elle est suffisamment éloignée dans le futur. Les spectateurs n'auront ainsi aucun mal à croire qu'une partie de la population vive à bord d'une station spatiale. Neill Blomkamp avoue que cette date lui paraissait simplement "naturelle". |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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