HORS NORMES
|
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Eric Toledano et Olivier Nakache voient Hors Normes comme la somme des obsessions qui traversent tous leurs films : le groupe au travail comme dans Nos jours heureux ou Le Sens de la fête, le milieu associatif dans Samba, et les duos dans Intouchables ou Je préfère qu'on reste amis.
Hors normes est le fruit d’un engagement de vingt ans. En 1994, Eric Toledano et Olivier Nakache étaient moniteurs de colonies de vacances et ont dû passer un diplôme pour devenir directeur (BAFD). C’est là qu'ils ont rencontré Stéphane Benhamou, le créateur de l’association Le Silence des Justes, spécialisée dans l’accueil et l’insertion des enfants et adolescents autistes.
Un peu plus tard, Stéphane a eu besoin d’un film de six minutes pour présenter son association. Il espérait collecter des fonds car il peinait déjà à obtenir les aides nécessaires nécessaires au bon fonctionnement de sa structure. Eric Toledano et Olivier Nakache sont alors allés, avec leur caméra, à Saint-Denis, à l’endroit même où, vingt ans plus tard, ils ont tourné Hors normes.
Pendant 2 ans, Eric Toledano et Olivier Nakache se sont immergés au sein de deux associations. Les scènes du film, y compris celle de la fugue de Valentin, ont toutes été vécues par les réalisateurs dans la réalité.
Eric Toledano et Olivier Nakache ont trouvé les autistes qui jouent dans Hors normes en « scannant » toutes les associations de Paris et de la région parisienne. Les cinéastes sont alors tombés sur Turbulences (compagnie artistique qui emploie des personnes présentant des troubles de la communication, autisme et troubles apparentés). Ils ont alors proposé un atelier de théâtre aux membres et dirigeants de cet ESAT (Etablissement de Service d’Aide par le Travail) logé dans un chapiteau à porte d’Asnières (17ème arrondissement). |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly