L'EMBARRAS DU CHOIX
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est à l'origine les scénaristes Laure Hennequart et Laurent Turner qui ont imaginé cette intrigue en écrivant un premier scénario. En bonne intelligence avec eux, Eric Lavaine s'est ensuite approprié cette histoire en modifiant ses dialogues, en redéfinissant certains personnages et en rajoutant de la comédie.
Pendant l'écriture du film, Eric Lavaine était tombé sur des études américaines qui affirment que chaque jour nous sommes confrontés à près de 35 000 décisions. Ce chiffre peut paraître improbable, mais il faut savoir qu’une personne prend déjà en moyenne 200 décisions concernant la nourriture par jour. Dans l’ensemble, le nombre de décisions prises quotidiennement varie considérablement d’une personne à l’autre. Le metteur en scène précise : "Bien évidemment il y a plein de décisions que nous prenons automatiquement mais il y en a d’autres qui se révèlent particulièrement "prise de tête". Pour certaines personnes cette impossibilité de prendre des décisions se révèle très handicapante. Ça va être le cas pour Juliette dans le film."
Le trouble dont souffre Juliette existe réellement dans la réalité. La psychanalyste Caroline Weill explique : "Il existe une difficulté à passer à l’acte, à prendre une décision : c’est la 1e étape du passage à l’acte." "
Dans mon parcours de psychanalyste, j’ai déjà rencontré des cas avec une vraie difficulté comme Juliette quant à la prise de décision. Pour Juliette, choisir c’est prendre la responsabilité d’une décision qui mène inévitablement au drame... C’est évidemment pour cette raison qu’elle choisit de ne pas choisir. Cette névrose est le symptôme d’autre chose. Pour que Juliette en arrive là, il y a eu un traumatisme, c’est-à-dire un bouleversement émotionnel tel que son psychisme n’arrive pas à l’absorber." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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