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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Après Le Ventre de Juliette (2003), Séraphine (2008), Où va la nuit (2011), Violette (2013) et Sage Femme (2017), Martin Provost revient avec un nouveau film qui traite d'émancipation féminine, mais cette fois-ci de manière plus légère.
Martin Provost a situé l'intrigue de La Bonne épouse en 1967-1968, parce qu’après 1970-71, toutes les écoles ménagères ont disparu.
Il y a, dans La Bonne épouse, tous les marqueurs de l’époque où le film se situe : Adamo, Joe Dassin, Menie Grégoire, Guy Lux ou encore Anne-Marie Peysson. "Le grand fossé entre Paris et la Province. Dans ma jeunesse, Paris incarnait le rêve absolu. La rapidité des transports et des moyens de communication a changé la donne. D’ailleurs on ne dit plus la Province mais les Régions. Avec Séverine nous avons très vite pensé à l’Alsace parce que c’est une région qui a beaucoup souffert de la Seconde Guerre mondiale. Une région éloignée, sauvage, comme l’était la Bretagne de mon enfance", raconte Martin Provost.
La Bonne épouse est né d’une rencontre. Martin Provost avait loué un été une maison dans le Cotentin qui appartenait à une dame de 80 ans. Elle lui a raconté comment elle avait décidé, après la guerre, de ne pas faire d’études, contre l’avis de ses parents, parce qu’elle préférait aller à l’école ménagère pour rester avec ses copines.
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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