LA MULE
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Films Réalisés 38 dont SPACE COWBOYS (2000), CRÉANCE DE SANG (2002), MYSTIC RIVER (2003), MILLION DOLLARS BABY (2004), MÉMOIRES DE NOS PÈRES (2006), LETTRE D'IWO JIMA (2006), L'ECHANGE (2008), GRAN TORINO (2008), INVICTUS (2009), J. EDGAR (2011), AMERICAN SNIPER (2015), SULLY (2016), LE 15H17 POUR PARIS (2018) |
SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
La Mule n'est pas photographié par le chef-opérateur fétiche de Clint Eastwood, Tom Stern. C'est une première depuis Créance de sang en 2002, première collaboration entre les deux hommes. C'est le canadien Yves Bélanger qui prend la relève sur le dernier film du maestro.
Bien que Clint Eastwood ait le même âge qu’Earl, la ressemblance s’arrête là, et il a dû se documenter pour composer le personnage qu’il incarne. "J'ai déjà beaucoup vécu si bien que je peux le comprendre en partie", reconnaît-il. "Sa passion pour les hémérocalles (plantes vivaces) m’a étonné, mais j’ai fait le lien avec le travail de mon grand-père qui élevait des poulets. Dans une certaine mesure, j’ai calqué le personnage d’Earl sur lui et sur son physique, notamment sa démarche d’homme âgé." "Ce qui est génial chez Clint, c’est qu’à 88 ans, il a dû jouer le fait d’être vieux tellement il est en forme", s’amuse Bradley Cooper, qui joue un des protagonistes aux côtés de Clint Eastwood. "Clint saute de sa chaise comme un kangourou, mais ce n’est pas le cas d’Earl. C’était amusant de le regarder se comporter comme quelqu’un d’âgé, justement parce que lui est encore un vrai athlète."
La Mule est inspiré de la vie de Leo Sharp (Earl Stone dans le film), vétéran de la Seconde Guerre mondiale. Ce dernier est devenu dans les années 80 le transporteur de drogue le plus âgé et le plus prolifique du Cartel de Sinaloa. "La meilleure mule de l’histoire du cartel de Sinaloa était celui auquel on s’attendait le moins : un vieux monsieur de 90 ans qui voyageait pour son travail. Ils l’adoraient. Ils le recevaient comme un roi et le laissaient faire ce qu’il voulait. C’est à partir de là que j’ai commencé", explique le scénariste Nick Schenk.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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