SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le tournage s'est déroulé à Bâton Rouge, la capitale de l'état de Louisiane ainsi que dans le sud des États-Unis et à Taninges en Haute-Savoie.
Ce n’est pas la première fois que le réalisateur Jean-Paul Salomé construit son film à partir d'un fait divers. C’était déjà le cas pour deux autres de ses films, Les Braqueuses (1993) et Restons groupés (1998): "Avoir un point d’ancrage dans la réalité me donne souvent le courage de m’attaquer à une histoire. Et le fait que cette histoire se passe aux Etats-Unis avait son importance car cela correspondait, chez moi, à une envie de cinéaste. J’avais déjà eu une expérience de tournage aux États-Unis avec Restons groupés et je m’étais dit que la prochaine fois que je tournerais un film aux États-Unis, ce serait avec des comédiens américains. Cette histoire me le permettait car, à l’exception du personnage principal, tous les autres personnages sont américains. C’est cette concomitance qui m’a donné l’envie et l’énergie de me lancer dans ce projet".
La législation américaine étant très contraignante en la matière, l'utilisation des vrais noms des personnages a été interdite au cours du tournage. Concernant le personnage inspiré de Frédéric Bourdin (Frédéric Fortin), le réalisateur a jugé que c’était une précaution juridique nécessaire, anticipant une réaction négative du vrai Frédéric Bourdin:
"Le film a connu une gestation assez longue, le tournage a été retardé plusieurs fois, j’ai fait mon possible pour tenir Frédéric Bourdin informé, mais ce n’était pas toujours facile. Pendant cette période, il était d’humeur changeante : un jour il aimait le scénario, le lendemain il se sentait trahi. Enfin, nos rapports se sont dégradés car il estimait qu’on le tenait à l’écart. Je le regrette mais, au final, le fait que le personnage principal porte un autre nom que le sien montre, au-delà des précautions juridiques, que c’est ma vision subjective de ce personnage et pas la vraie vie de Frédéric Bourdin". |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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