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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Après Alice au Pays des Merveilles de Tim Burton, Maléfique avec Angelina Jolie en sorcière de La Belle au bois dormant, puis Cendrillon revisité par Kenneth Branagh, Disney réalise une version live d'un autre classique : Le Livre de la jungle.
Le jeune comédien Neel Sethi a été choisi par le réalisateur Jon Favreau pour incarner Mowgli dans cette version live du "Livre de la Jungle". C’est son premier long métrage après avoir joué dans le court métrage "Diwali" qui raconte l'histoire d'un jeune garçon indien-américain découvrant qu'une croix gammée a été peinte sur la voiture de ses parents...
A part le jeune acteur Neel Sethi, tout ce qu’on peut voir à l’écran a été créé par des magiciens des effets spéciaux. Les animaux du film sont nés d’un processus qui mixe plusieurs techniques différentes. En effet, pour que la magie opère, l’équipe du film s’est inspirée de véritables animaux sauvages évoluant dans leur milieu naturel. A partir de là, ils ont utilisé les meilleures technologies en matière de CGI pour donner vie à leurs propres créatures, aussi vraies que nature, mais en altérant légèrement leurs traits pour que leurs visages collent avec la performance des acteurs, sans trop en faire non plus pour conserver à tout prix cette sensation de réalisme. Côté casting, ce sont les comédiens qui ont prêté leurs voix aux animaux, mais aussi leurs expressions dans une moindre mesure, car des techniques de performance capture ont également été utilisées (toujours avec parcimonie, pour éviter que les personnages n’aient l’air trop humains).
Les animaux que l'on voit dans le film ont été conçus à l'aide de la fameuse motion capture (qui permet d'enregistrer les positions de membres d'êtres vivants pour ensuite les retoucher sur ordinateur) et joués par des marionnettistes de la Jim Henson Company (créateur du Muppet Show). Sur le plateau de tournage, le personnel de cette société avait également construit des marionnettes grandeur nature des animaux pour jouer face à Mowgli et ainsi servir de repères à son jeune interprète.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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