SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le Sens de la fête est né dans le contexte assez lourd de l’année 2015. A ce moment, Eric Toledano et Olivier Nakache avaient envie de se diriger vers quelque chose de plus festif et faire rire tout en décrivant les travers de la société actuelle. Ce désir est né parallèlement avec celui d’offrir un rôle principal à Jean-Pierre Bacri. Nakache précise : "De façon plus anecdotique, je dois dire aussi que l’idée d’un film naît souvent sur le tournage du précédent car l’émulation fait émerger des idées. Or, la première scène de Samba se passait dans un mariage : un long plan-séquence nous emmenait de la salle aux coulisses. C’était un bon résumé de ce qu’on avait envie de faire."
Pour faire Le Sens de la fête, Eric Toledano et Olivier Nakache ont commencé par rassembler leurs souvenirs puisqu'ils ont, à leurs débuts pour financer leurs courts métrages, exercé ensemble tout un tas de petits boulots dans le milieu de la fête, dont celui de serveur dans les mariages. "Nous avions donc vécu dans ces coulisses, ressenti la pression de ce métier et glané bon nombre d’anecdotes sur le sujet. Mais en cours d’écriture, nous avons voulu nous replonger dans les brigades de serveurs actuelles, afin de voir comment tous ces gens travaillent dans l’ombre pour rendre des événements extraordinaires. C'est au cours de ces pérégrinations que nous avons commencé à dessiner nos personnages", se rappelle Nakache.
Le film a été tourné au château de Courances, près de Fontainebleau.
Il s'agit d'une bâtisse du XVIIe siècle qui a appartenu à Louis XIII et qui a la particularité de compter sur ses terres 13 sources naturelles. Les réalisateurs racontent : "Le terrain étant imbibé d’eau, nous avons dû nous adapter. Il faut avouer que ce tournage a été épique car le temps était très pluvieux et nous sommes souvent passés entre les gouttes. Comme un écho au film, comme Max et son équipe, nous avons dû, nous aussi au quotidien nous adapter, et chaque dialogue résonnait au sein de l’équipe technique comme un rappel, un état d’esprit." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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