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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Licorice Pizza marque les débuts au cinéma d’Alana Haim et de Cooper Hoffman. La première est une musicienne, membre du groupe Haim qu’elle forme avec ses deux grandes sœurs, le second est le fils de Philip Seymour Hoffman, qui était l’acteur fétiche de Paul Thomas Anderson. Ensemble, ils ont tourné cinq films (Boogie Nights, Magnolia, The Master, Punch-drunk love et Hard Eight).
Paul Thomas Anderson connaît Cooper Hoffman depuis sa naissance. Il l’a vu grandir puisqu’il est le fils de son acteur fétiche, Philip Seymour Hoffman, décédé en 2014. Au sujet de son jeune comédien, le cinéaste déclare : « Il y a un avantage à connaître quelqu’un, à connaître ses forces et l’énergie qu’il peut y insuffler. À bien des égards, il est très proche de Gary dans sa force de conviction et son intelligence – et il se retourne, il lâche un pet et on se rend compte qu’il n’a que 16 ans. C’est fou comme on peut être à la fois d’une aussi grande intelligence affective et totalement à l’ouest. On a essayé de s’en faire l’écho parce qu’il a 17 ans. »
Ray Nicholson (fils de Jack Nicholson), Sasha et Destry Allyn Spielberg (filles de Steven Spielberg), Dexter Demme (neveu de Jonathan Demme) et Jamie Giacchino (fils de Michael Giacchino) tiennent des petits rôles dans le film.
Paul Thomas Anderson tenait à ce que les acteurs ne soient pas maquillés et a banni toute retouche : « On a tendance à recourir de manière excessive aux retouches maquillage et coiffure. C’est un procédé incessant qui gêne la réalisation d’un film et qui fait qu’on se retrouve avec une cinquantaine de personnes qui s’agitent dans tous les sens pour retoucher une coiffure ou un maquillage. » Dans le cas où le personnage d’Alana l’est, il fallait que ce soit la comédienne qui se maquille elle-même et que cela soit visible par le spectateur. Alana Haim raconte : « Je me coiffais et me maquillais toute seule – certains styles étaient un peu délirants – mais au bout du compte, c’était génial. On avait tous des boutons, on était tous en sueur. J’adore le résultat à l’image. »
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La Critique de SevenArt
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