MEN IN BLACK 3
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Pour partir en 1969, l'agent J (Will Smith) doit sauter du 61e étage du Chrysler Building (qui en compte 77). Pour que la séquence à l'écran apparaisse plus "cinématographique", les concepteurs des effets visuels Ken Ralston et Jay Redd ont rallongé la durée de la chute, qui n'excédait normalement pas quelques secondes. Mais si cette idée de voyage dans le temps vous paraît loufoque, elle n'est pourtant pas originale : Jean-Claude Van Damme utilisait déjà la même technique dans le film Timecop en 1994.
Censé être un Agent K jeune, Josh Brolin se devait de coller aux mimiques de son modèle, ainsi qu'à son jeu mesuré. Mais il dut malgré tout passer par le maquillage, et se faire appliquer une prothèse nasale, issue d'un moulage du propre nez de Tommy Lee Jonesfait il y a une vingtaine d'année, et conservé dans les archives de la Columbia Pictures !
La mise en chantier de Men in Black III n'a pas été de tout repos... Le projet initié en 2009 s'est tout d'abord heurté à de solides problèmes de scénario : de grands scénaristes comme Etan Cohen, Jeff Nathanson ou David Koepp ont tenté de donner de la cohérence à cette histoire de voyage dans le temps compliquée. Tellement compliquée que le tournage a démarré sans que le scénario ne soit achevé ! Et les ennuis ont continué, les prises de vues ayant dû s'arrêter plusieurs semaines pour la réécriture des scènes se déroulant dans le passé, à la demande de Will Smith, augmentant ainsi le budget de manière considérable... Au total, le film a coûté 75 millions de plus que le second volet, devenant un pari risqué pour Sony, comme le confie le réalisateur Barry Sonnenfeld : "On savait en démarrant le film qu’on n’avait pas de 2ème ou 3ème acte achevé. Etait-ce responsable ? La réponse est que, si le film marche aussi bien que je le pense, c’est un coup de génie. Si c’est un échec total, alors ce sera une idée stupide."
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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