SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
MR 73 est inspiré de faits réels. Olivier Marchal n'est jamais très loin dans l'ombre de Schneider, " ce flic qui emporte avec lui tant de fantômes et de cicatrices à vif, que la traque et la fuite se confondent en une même exigence "(Bénédicte Desforges, auteur de FliC, chronique de la Police ordinaire). " Au 36 quai des Orfèvres, l'institution dévorait les hommes, poursuit l'écrivain. Dans la visée de MR 73, c'est le passé du flic qui le broie, et qui lui rappelle sans répit que le présent n'est jamais une affaire classée. Olivier Marchal a confié ses démons aux personnages de MR 73. Schneider et les autres portent en eux des bouts de vraies vies qui n'appartiennent pas au cinéma."
"Je m'inspire d'une histoire vraie qui au final est diluée dans une dramaturgie fictionnelle, ajoute le cinéaste. Pour le respect de la mémoire de ces gens-là, il fallait que le film soit une oeuvre à part entière avec toute la magnificence, la beauté et l'impact que doit avoir chaque séquence. Le fait d'avoir retrouvé cette petite fille - jouée par Olivia Bonamy - vingt ans plus tard est un événement tellement extraordinaire que j'ai eu envie de le partager. Je me suis dit que la vocation de quelqu'un qui fait des films, c'est aussi de faire participer ce monceau d'émotions qui ont été les miennes à travers 20 ans d'existence au moment où cette histoire est arrivée et la sortie du film. Je souhaitais transmettre au public ces moments de vie, en lui disant que des évènements comme ceux que je raconte existent et que la vie d'un flic ça peut-être aussi ça !!!"
Le titre fait référence à l'arme de poing calibre 357 Magnum sortie des ateliers de Manurhin en 1973. Ce revolver à six coups d'une précision excellente est utilisé par plusieurs unités d'élite comme le GIGN ou le Raid.
"C'est le symbole d'une police révolue, confie Olivier Marchal. Il s'agissait alors du premier revolver construit en France depuis 1892. C'est ce qui a remplacé ma première arme, un Smith & Wesson. J'ai pas de rapport fétichiste aux armes. Je n'ai jamais eu une arme personnelle comme certains, mais quand on a eu un objet comme celui-là dans les mains, on ne peut-être que bluffé. Le MR 73 était un revolver compétitif et spectaculaire. Son design le rend très sensuel. Ses lignes sont très bien étudiées pour ne pas en faire une arme trop imposante." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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