SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Dans Pris de court, Emmanuelle Cuau n'a pas voulu s'attarder sur les états d'âme des personnages mais plutôt montrer comment ces derniers encaissent les coups et prennent sur eux. "Le film est toujours en mouvement vers autre chose qui s’emballe et se calme, comme un fleuve qui entraine tout sur son passage. (...) Au scénario, puis au montage, j’ai continué à retirer des moments trop explicatifs et j’ai aussi beaucoup coupé de petits plans assez transitoires préférant des fondus noirs qui ponctuent les trois mouvements du film. Je voulais que les choses soient dites dans le silence et dans les ellipses", explique la cinéaste.
Le tournage de Pris de court a commencé le 16 novembre 2015, soit trois jours après les attentats de Paris. Comme la préfecture de police avait interdit les rassemblements, Emmanuelle Cuau et son équipe ont dû en permanence remanier le plan de travail en attendant les autorisations de tourner les extérieurs. "C’était important pour moi de pouvoir filmer Paris, l’arrivée de cette famille d’une ville de province dans le tourbillon de la ville, l’effervescence de la place d’Italie à 8 ou 9 heures du matin, quand les gens entrent et sortent du métro, filent à leur travail...", précise-t-elle.
Emmanuelle Cuau définit Pris de court comme un thriller familial.
La cinéaste et la scénariste Raphaëlle Desplechin ont cherché à créer de la tension en partant d'une situation banale dans le monde d’aujourd’hui : le fait d'être évincé brutalement d'un emplois nous ayant été promis. Cuau confie : "C’était important pour Raphaëlle et moi de ne jamais perdre de vue que l’on racontait une famille. Ce n’est pas : Nathalie, une mère courage, mais une mère et ses enfants. On essayait toujours d’en revenir à ça, à eux trois, à ce qui les lie." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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