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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Robert Bloch, écrivain plébiscité dans le monde de l'horreur, a été souvent adapté au cinéma. Outre Psychose, ses oeuvres sont à l'origine de Crâne maléfique (1965), Le Jardin des tortures (1967) ou encore L'Asile (1972). Très critiqué pour le racolage dont le livre faisait preuve (dans son roman, la scène de la douche était beaucoup plus explicitement érotique), Robert Bloch aimait à rappeler qu'il conservait toujours dans son portefeuille une note d'attention d'Hitchcock lui-même, qui disait : "Je n'ai rien changé à Psycho".
Afin de tester l'effet que produirait la vision du corps momifié de la mère de Norman, Alfred Hitchcock plaça le faux cadavre dans la penderie de Janet Leigh. Laquelle, en l'ouvrant, poussa bien entendu un hurlement de terreur. Il faut croire que le maître fut satisfait de la réaction de sa malheureuse interprète...
La grande maison de Norman Bates fut le décor le plus coûteux de Psychose : 15.000 dollars. Une partie des matériaux utilisés proviennent en fait d'un recyclage des décors utilisés sur un autre film, Harvey, une comédie emmenée par James Stewart et sortie en 1950.
"Le film que vous devez voir depuis le début...ou pas du tout !" pouvait-on lire sur une publicité de cinéma aux Etats-Unis à la sortie du film. Sur une autre : "Personne, absolument personne ne sera admis après le début du programme Psychose !". A la sortie du film, Hitchock exigea en effet que les exploitants des salles interdisent l'accès aux spectateurs arrivant en retard à la projection, en particulier les 30 premières minutes du film passées; soit jusqu'au meurtre de Janet Leigh alias Marion Crane. |
La Critique de SevenArt
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