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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Rambo Last Blood constitue le cinquième et dernier film centré sur le célèbre vétéran de la Guerre du Vietnam, John Rambo. Il fait suite à Rambo (1983), Rambo II : la mission (1985), Rambo III (1988) et John Rambo (2008).
La dernière fois que les spectateurs avaient vu Rambo, à la fin du quatrième volet, il se dirigeait vers un ranch sur un chemin poussiéreux et croisait une vieille boite aux lettres à son nom. L'ex-militaire avait fini par rentrer chez lui. Rambo: Last Blood reprend le fil de la saga : Rambo est désormais installé dans l’Arizona où il mène une vie tranquille dans son immense ranch. Il partage sa vie avec la famille qu’il s’est choisie, Maria et sa petite-fille Gabriela, auprès de qui il se sent entouré et apaisé. "Dix ans sont écoulés depuis la dernière fois qu’on a vu Rambo. Pendant longtemps, il est resté à l’écart de la société, mais à présent il semble vouloir y revenir. Il a été accueilli dans une famille qu’il aime de tout son coeur, et dont il veut s'occuper", explique Sylvester Stallone.
Pour Sylvester Stallone, reprendre le rôle de Rambo était l'occasion d’explorer de nouvelles facettes du personnage, tout en gardant bien sûr ses caractéristiques les plus évidentes.
"Rambo était dans l’isolement total depuis des années, mais à présent il a une famille. Cette situation permet de mieux comprendre sa mentalité et sa sensibilité. Ce film est assez différent du précédent et il est plus personnel. C’est la première fois qu’on voit Rambo dans un contexte familial et il ne s’est jamais autant senti chez lui. Cette vie de famille nous révèle un aspect de Rambo qu’on n’avait encore jamais découvert dans la saga. On voulait montrer un Rambo plus humain", précisent Sylvester Stallone et le réalisateur Adrian Grunberg. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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