SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
"C’est un film beaucoup plus ambitieux que le premier", affirme le réalisateur David F. Sandberg. "On a vraiment mis le paquet, en particulier concernant les acteurs, les images et les effets sonores. C’est un film conçu pour le grand écran et un son grandiose, et je suis très heureux qu’on le distribue en IMAX, Dolby Atmos et tous ces formats sonores de qualité, ce qui offre le meilleur écrin pour le regarder. Avec des haut-parleurs dans le plafond, les spectateurs peuvent entendre le tonnerre et les éclairs retentir au-dessus d’eux, des dragons voler et des harpies à leurs trousses qui leur collent aux basques ! On doit pouvoir recevoir ce film de manière sensorielle".
Chaque tenue du film a été fabriquée par le studio Ironhead en quatre à six mois. Le costume le plus lourd était celui d’Helen Mirren (Hespera), qui pesait près de 9 kg. Afin que les costumes puissent résister à l’épreuve des décors et des séquences d’action, leur trame a été conçue en élasthanne, matériau qui s’étire sans perdre élasticité ni forme, et qui est suffisamment solide pour supporter d’importantes impressions de texture et parfois deux ou trois couches de couleurs différentes. Toutes les pièces ont été peintes en profondeur afin que la caméra puisse faire ressortir ces détails. Une fois l’impression terminée, on ne voit quasiment plus la trame en tissu du costume.
Pour élaborer les tenues des Déesses, les actrices ont été scannées, avant que les costumes puissent être fabriqués. Afin de donner aux tenues l’impression qu’elles avaient été taillées à la main dans du cuir, les artisans ont utilisé de l’uréthane, qui permettait des retouches faciles et de la consistance. L’équipe a également recouru à l’impression 3D pour donner une meilleure définition et davantage de texture aux corsages et aux jupes des costumes.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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