SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
The Front Runner raconte l'histoire vraie du sénateur américain Gary Hart, favori pour être à la tête du parti démocrate en 1988 mais qui a dû se retirer de la course en raison d'une relation extra-conjugale. Le scénario du film est basé sur le livre "All the Truth Is Out" de Matt Bai, sorti aux Etats-Unis en 2014. Gary Hart a été contraint de laisser tomber la politique à la fin des années 1980 en raison de ce scandale d'adultère. Depuis, il a oeuvré en tant que consultant sur la sécurité nationale et commentateur sur des sujets qu'il connaît particulièrement bien, comme l'environnement et la sécurité. Il est également devenu professeur de philosophie en 2006, cinq ans après l'obtention de son doctorat.
En guise de références visuelles, Jason Reitman et le directeur de la photographie Eric Steelberg ont visionné Votez Mckay (1972) et The War Room (1993), un documentaire de Chris Hegudus et D.A. Pennebaker sur l’immense succès de la campagne de Clinton. Ils se sont ensuite écartés des films politiques pour s’intéresser au travail de Robert Altman ainsi qu’à quelques films phares des années 1970 tels que Les Trois jours du Condor, Network : main basse sur la télévision, Les Hommes du Président et A cause d'un assassinat.
Recréer le chalet de Gary Hart, situé dans la zone des Rocheuses appelée Troublesome Gulch, a représenté un défi de taille. Le chef décorateur Steve Saklad se rappelle : "Ce chalet existe encore. Jason a eu la chance de le visiter, accompagné de Gary Hartman. Nous avons ainsi pu obtenir de véritables clichés du chalet, ainsi que des photographies datant de 1987, ce qui nous a permis d’obtenir une vision authentique de la décoration intérieure, et même du portail devant lequel tous les journalistes s’amassaient. Nous avons tout fait pour répliquer ce lieu à la perfection, tel qu’il apparaît dans les photos d’époque." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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