SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Tout, tout de suite est tiré du roman du même nom écrit par Morgan Sportès et publié en 2011. L'ouvrage a été récompensé du Prix Interallié.
En 2006, Ilan Halimi est kidnappé, séquestré et torturé par le gang des barbares mené par Youssouf Fofana. Le jeune homme sera relâché après 24 jours de détention et succombera à ses blessures. L'affaire a suscité des réactions intenses en France en raison du caractère antisémite du meurtre et de la violence des faits.
Un autre long métrage inspiré de l'affaire Ilan Halimi a été réalisé peu de temps avant Tout, tout de suite : 24 jours, adapté du livre de Ruth Halimi, réalisé par Alexandre Arcady. Le tournage s'est déroulé en septembre 2013, avec au casting, Zabou Breitman, Syrus Shahidi, Pascal Elbé, Jacques Gamblin, Sylvie Testud, Eric Caravaca et Michel Boujenah.
Tout, tout de suite a été tourné en 8 semaines, de mars à mai 2014 à Paris, Bruxelles et au Luxembourg : "À Paris, on a tourné sur les lieux emblématiques de l'affaire, qu'il s'agisse du café ou de la cabine téléphonique de la porte d'Orléans ou des cybers cafés. Par la suite, comme c'était impossible de tourner à Sceaux ou à Bobigny pour des questions de sécurité, on a filmé les scènes de cité en Belgique. S'agissant de l'appartement et de la cave où Ilan a été séquestré, on les a reconstitués en studio grâce aux infos de Morgan et aux photos. Bien entendu, on a ensuite monté les images de studio à d'autres tournées en décors réels", explique Richard Berry.
Le film débutera par l'arrestation du gang des barbares, le 17 février 2006 à 6h du matin et le spectateur pourra remonter le fil des événements via les interrogatoires des suspects par les enquêteurs. Richard Berry s'est inspiré de la structure de Inside Man de Spike Lee "où le hold-up est rythmé par des scènes d'interrogatoires sans qu'on sache s'il s'agit des victimes ou des voyous", relate le réalisateur.
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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